dimanche 28 décembre 2008

* Les voeux de Guru Singh and Guruperkarma Kaur

Sat Nam,

Ce message est pour vous souhaiter de fond du cœur, et à votre famille et à tout ceux que vous aimez, tout ceux qui vous sont spéciaux et même ceux que vous aimez sans le savoir, une nouvelle année la plus joyeuse possible, la plus sainte, ainsi que toutes les autres années qui viennent.

Nous souhaitons cela à tous les leaders de cette Terre. Nous souhaitons cela aux animaux, aux plantes, et aux minéraux de cette Terre. Nous souhaitons cela aux élémentaux, aux anges et au futur de cette Terre.

Je me souviens - comme si cela était aujourd'hui - de l'arrivée du
Siri Singh Sahib - Yogi Bhajan - à Los Angeles au début du mois de Janvier 1969. Ceux parmi nous, chanceux d'être là à ce moment, reçurent un candidat unique dans ces années connues comme les années où rêgnait la mode des maîtres spirituels indiens. Swamis, Yogis et maitres spirituels arrivaient en Occident.

Yogi Bhajan était cependant un peu différent ... la différence était dans sa manière de faire, cette façon de "tu es juste comme moi et son attitude de "ne m'aime pas, aime mes enseignements".
Cela deviendra
avec le temps une grande force et une attraction magnétique.

"Je veux que tu oublies l'amour, oublies DIEU, je veux que tu ailles dehors et que tu trouves un travail!" J'entendais sa voix résonner vers moi en Février de cette année.

"Je suis un musicien", je répondis fièrement, mais pas très fort "la musique est mon travail".

"Mais pas tout le monde est musicien" rugit-il, "si tu veux être un grand enseignant, tu dois enseigner à chacun... pas seulement aux musiciens. Tu dois savoir ce qui se passe dans le reste du monde."
Je ne pouvais pas croire ce que j'entendais, mais il s'y tenait. Le reste de la conversation dura les 40 ans de ma vie qui suivirent (35 ans avec Sa personne et le reste en esprit).
Notre relation avait ce même goût familial ... une
sorte de mélange père-maitre-guide. Il parlait de moi comme un "fils ainé".

Nous (ses étudiants plein d'enthousiasme) appliqués à travailler dans ces premières années. Nous apprenions de son enthousiasme à lancer des affaires. Notre dévouement bâtit chaque chose dans la communauté grandissante. Le Yogi tea démarrait dans un grand tonneau en bois dans notre magasin de nourriture bio Golden Temple, à Los Angeles. La société Peace céréal et la société de confiserie à macher Wahe Guru était toutes deux nées dans le four d'une petite cuisine de Eugene, dans l'Orégon.

Yogi Bhajan - l'homme aussi connu comme le
Siri Singh Sahib - nous apprit à projeter notre engagement conscient, notre caractère et notre calibre dans ces affaires tout au long des classes de Kundalini Yoga et de vie Yoguique. Aujourd'hui nous sommes plus connus pour les thés et les céréales que pour les enseignements spirituels.

Yogi Bhajan fit exactement ce dont il avait rêvé... il inspira des communautés conscientes autour du globe pour supporter le monde autour d'elles et elles-mêmes avec un engagement profond et un bien-être créatif dans les affaires, dans la conscience de la nutrition, de l'Humanologie et du Kundalini Yoga. Cela dépend de chacun de nous d'accomplir un rêve pour nous-mêmes avec notre propre style et à travers nos propres visions.

Que cette nouvelle année 2009 et toutes les années à venir, vous guide dans votre voyage personnel vers cette beauté et cette grâce, cette unité et cette puissance, cette unité et cette libération.


Toujours avec l'amour sacré, les bénédictions,
la prière et la gratitude...
Guru Singh and Guruperkarma Kaur

* Mircéa Eliade et la redécouverte du Sacré

Mircea Eliade (9 mars 1907 à Bucarest - 22 avril 1986 à Chicago) est un historien des religions, mythologue, philosophe et romancier roumain. Il parlait et écrivait couramment huit langues (roumain, français, allemand, italien, anglais, hébreu, persan et sanskrit), mais la majeure partie de ses travaux universitaires a été écrite d'abord en roumain, puis en français et en anglais.

Mircea Eliade est considéré l'un des fondateurs de l'histoire moderne des religions. Savant studieux des mythes, Eliade élabora une vision comparée des religions, en trouvant des relations de proximité entre différentes cultures et moments historiques. Au centre de l'expérience religieuse de l’homme, Eliade situe la notion du « Sacré ».

Sa formation comme historien et philosophe, l'a amené à étudier les mythes, les rêves, les visions, le mysticisme et l'extase. En Inde, Eliade étudia le yoga et lut, directement en sanscrit, des textes classiques de l'hindouisme qui n'avaient pas été traduits dans des langues occidentales.

Auteur prolifique, il cherche à trouver une synthèse dans les thèmes qu'il aborde (excepté dans son Histoire des religions, qui reste purement analytique). De ses documents est souvent souligné le concept de « Hiérophanie », par lequel Eliade définit la manifestation du transcendant dans un objet ou dans un phénomène de notre cosmos habituel.

Vers la fin du vingtième siècle, quelques textes d'Eliade nourrissent la vision gnoséologique de mouvements religieux, apparus avec la contre-culture des années soixante.

Son parcours:

Mircea Eliade a grandi dans une famille chrétienne orthodoxe.
En 1921, à l'âge de 14 ans, il publie son premier roman "Comment j’ai découvert la pierre philosophale". Il s'intéresse très tôt à la philosophie, la philologie et l'étude des langues étrangères. Vers 1925, il maîtrise déjà l'allemand, l'anglais, le français et l'italien.

Il fait la connaissance, à l'Université de Bucarest, d'Émile Cioran et Eugène Ionesco, prélude à une longue amitié qui se poursuit par la suite en France.

Après l'obtention d'une licence de philosophie en 1928, il part pour l'Inde à l'âge de vingt et un ans. Il séjourne durant trois ans à Calcutta (Bengale occidental, Inde) où il prépare son doctorat. Ce voyage est pour lui une véritable initiation qui marquera ses travaux ultérieurs. Il rentre en Roumanie en décembre 1931 et commence la rédaction sa thèse sur le yoga qui deviendra "Le Yoga, immortalité et liberté".

Parallèlement, il poursuit une carrière d'écrivain. Son roman "Maitreyi. La Nuit bengali"(trad. franç., Gallimard, 1950) obtient un prix au printemps 1933. La même année, il devient docteur en philosophie. De 1933 à 1940, il enseigne la philosophie indienne à l'Université de Bucarest.

Une érudition monumentale qui embrasse les continents et les siècles: rien de ce qui relève du reli­gieux ne semble étranger ou inconnu à Mircea Eliade dans le vaste inventaire qu’il conduit des .formes de la vie religieuse, dans la diversité de ses manifestations (1). Mais une telle œuvre est, à bien des égards, difficilement classable, car elle ne se limite pas .à un simple répertoire descriptif des formes de la vie religieuse : elle entend, dans le même temps, se pré­senter comme une compréhension du religieux dans sa spé­cificité propre, tout à la fois universelle parce que présente partout dans l’histoire des cultures et manifestant une unité de la conscience humaine. Les formes religieuses sont multi­ples, cela est une donnée de fait. Mais il est non moins évi­dent, pour Eliade, que l’homme religieux, lui, est un, par­tout et toujours le même en cette multiplicité, parce qu’il est en relation avec le sacré.

L’histoire des religions est donc plus et autre chose qu’un inventaire de ces formes, car elle est toujours la visée de cette relation fondamentale de l’homme au sacré. Elle a en vue de mettre en évidence cette relation primordiale; en effet, ce qui fait de l’homme un être humain, c’est la conscience qu’il prend de lui-même dans cette relation primordiale. L’inven-taire des formes renvoie à une expérience, celle du sacré, et l’expérience, au réel qui est désigné comme le sacré.

1ère partie


2ème partie


3ème partie


4ème partie

dimanche 14 décembre 2008

* Wha yantee

Sadhana Yoga Festival 2008

samedi 13 décembre 2008

* Interview Satprem

1ère partie


2ème partie



http://fr.wikipedia.org/wiki/Satprem